Décès d’Antoine après deux injections pfizer

C’est l’histoire d’une maman, enseignante de profession qui a fait confiance au système médical lors de la pandémie de 2020 et qui a perdu son fils Antoine alors âgé de 30 ans et en pleine forme. Ce qui est surprennent, c’est le motif invoqué dans le rapport d’autopsie. Mourir à trente ans d’une noyade dans sa baignoire vous parait-il plausible?

De quoi mon fils est-il décédé?

ANTOINE – Belgique – 30 ans – Décès inopiné après 2 injections anti-covid

Témoingnage de la maman d’Antoine, un fils qu’on lui a arraché !

Au préalable, il était en bonne santé et nous avons recensé un malaise par manque de repos, et non d’alcool, lors d’un festival juste après une session universitaire intense et un autre dû à une fatigue temporaire suite à une nécessité de surplus de travail exceptionnelle.

Les résultats de ses examens médicaux (neuro et cardio) réalisés entre ses injections et son décès ne révélaient, ni ne présageaient, une telle finalité.

J’ai cru au vaccin comme tout le monde

Revenons un peu en arrière. Travaillant dès le début du premier confinement, je disposais d’une panoplie contrôlée de compléments préventifs et pouvais disposer de deux protocoles curatifs différents. J’avais suggéré cela à mes fils.

Vint l’annonce de l’injection miraculeuse! N’étant pas anti-vaux, je préconisais toutefois la vaccine-prudence. En effet, j’estimais bizarre la diabolisation soudaine de traitements utilisés quasi-librement depuis plusieurs décennies et conseillais à mes enfants d’attendre 6 à 12 mois de recul avant de recourir aux injections.

Vint l’invitation pour l’injection …Ma dernière sérologie montrait une présence (pas suffisante selon les critères officiels) d’anti-corps. J’avais donc eu le covid sans m’en apercevoir. Je suggérai à mes proches de recourir à une prise de sang exhaustive incluant sérologie covid auprès de ma doctoresse afin d’être fixés sur la nécessité impérieuse de l’injection. Conseils pieusement détruits par les propos d’une certaine presse à l’encontre de ma doctoresse. Les organes gouvernementaux l’emportaient sur ma modération de maman. Et puis, Antoine aimait tellement ses grands-parents dont l’un exigeait l’injection….

Antoine a accepté les injections pour revenir à la vie social

Désireux de retourner à la vie sociale, Antoine reçut les deux injections. J’appris qu’il avait éprouvé des symptômes immédiatement après l’une d’elles. « On » lui avait dit que c’était « normal », de ne pas s’inquiéter; et moi, j’avais perdu toute crédibilité à ses yeux. Plus tard, j’appris que le délai conseillé entre les deux injections était trop court ce qui a contribué à sa mort.

Des symptômes préoccupants apparurent tels que « tendance à la rupture de contact », maladresse manuelle, migraines ophtalmiques, troubles visuels, contractions involontaires des muscles suivies d’un bruit dans l’oreille, convulsions de type épileptique, illusions visuelles.

Le 15 novembre 2021, une analyse sommaire de sang (dont fut exclu le taux de D-dimères) ne révéla rien d’inquiétant pour son généraliste excepté un taux de créatine kinase très élevé et un autre très bas en vitamine D. Le 17 novembre, il consulta un neurologue qui soupçonna une activité comitiale psychomotrice (càd suspicion épileptique) et prescrivit un électro-encéphalogramme et une IRM. Dates de rendez-vous possibles: le 17 janvier 2022 pour l’EEG et le 22 février 2022 pour l’IRM. Le 8 décembre, Antoine fut pris de convulsions, perdit connaissance, devint tout mauve/bleu et fut transporté rapidement aux urgences. Le soir même vers 22h30, il rentra chez lui après des résultats réconfortants et sans aucune recommandation mise à part un EEG pour le lendemain dont l’interprétation était prévue pour le 29 décembre. Les examens réalisés les 8 et 9 décembre n’indiquaient aucunement la présence d’épilepsie, ni de problèmes cardiaques.

Personne n’avait envisagé l’effet peut-être délétère (confirmé ultérieurement après son décès) de deux injections d’un produit en phase encore expérimentale dont la composition exacte n’était pas divulguée.

Le 16 décembre, Antoine fut retrouvé mort dans sa baignoire.

Une autopsie fut réalisée et l’on m’a communiqué oralement, en mars 2022, la conclusion « Mort par noyade ». Je n’ai pu disposer du rapport qu’en juin 2023. Aucune recherche orientée dans l’hypothèse d’un éventuel effet d’injections répétées à dates rapprochées d’un nouveau produit expérimental.

Antoine fut un enfant et un jeune adulte dynamique, altruiste, plus disponible pour les autres que pour lui-même. Il avait dépassé bien des paliers dans sa courte vie: deux années primaires en même temps, scouts marins, création d’une équipe de rugby dans son école, master en droit dans des conditions difficiles, obtention d’une aide financière privée pour réaliser un master au King’s College de Londres, concours européen de débats, bénévolat auprès d’une école de devoirs après ses heures de travail, implication politique dans sa commune, …. Il entamait sa trentaine avec son entrain généreux et humaniste.

Volontaire? Acte volontaire était-il écrit sur l’invitation à se faire « vacciner ». Le seriez-vous si, avant de procéder, votre injecteur vous présente la liste des 15 302 maladies recensées comme « effets secondaires d’intérêt particulier » figurant dans les documents Pfizer mis à disposition seulement fin 2021?

En relisant son dossier, les arguments, aujourd’hui pour certains défaillants, de l’invitation, certaines littératures ardemment censurées et en écoutant des témoignages, je ne peux que continuer à être ce que je suis pour l’éternité, c’est-à-dire la mère d’Antoine et de perpétuer ses élans orientés d’abord pour l’humain en témoignant aux côtés d’autres blessés afin de palier pareils écueils dramatiques.

Il apparait essentiel que tout soignant et tout soigné puissent être librement formés et informés quant à toutes éventualités au lieu de les induire à apprendre et appliquer uniquement des instructions écrites en gras.

Je demande un pacte de guérison pour la médecine.